En ce temps-là dans la cour du pensionnat.
Des jours entiers, de longues traînées noires s’effilochaient des nuages. Le train à vapeur, son panache de fumée poussé par le vent, cliquetait sur le talus. C’était le temps des punitions... puis ce fut celui des casernes, de la guerre, des captivités...
Mais mon amour n’a fait que croître ; je veux, malgré les doutes qui parfois m’assaillent, bénir ceux que j’aime, faire effort pour ne jamais avoir de haine.

La Cour du Pensionnat

1939
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